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Issus d’un savoir-faire ancestral et artisanal, les bijoux sont de véritables oeuvres d’art. Bagues, colliers, bracelets, boucles d’oreilles : ces pièces de joaillerie portent en eux des symboliques complexes, et ce depuis des millénaires. Sur tous les continents, les bijoux sont intrinsèquement liés à des questions d’organisation politique, culturelle et sociétale, en faisant non seulement des objets d’apparat, mais aussi des artefacts aux multiples facettes. Tantôt amulettes, objet d’autorité et de pouvoir, accessoire de mode, ils rayonnent par leur protéiformité.
Mais comment sont fabriqués ces écrins de beauté et quelle est leur histoire ? De l’extraction à la transformation, zoom sur le cycle de vie d’un bijou et des étapes qui composent sa conception.
Depuis toujours, l’utilisation de symboles fait partie intégrante des interactions humaines. Les bijoux revêtent ce caractère métaphorique et reflètent des fragments de vie et de personnalité. Éléments clés de notre civilisation, ils ont évolué au cours de l’histoire, permettant de suivre l’avancée de nos sociétés et de notre pensée.
Il faut remonter aussi loin que la Grèce et l’Égypte Antique pour voir apparaître la symbolique des bijoux. Dans ces civilisations antiques, ces derniers matérialisent le statut et le pouvoir, mais possèdent également des vertus protectrices. C’est à partir de cette époque que l’on attribue au bijou des propriétés magiques, croyance qui atteint son point culminant au Moyen-âge. Les pierres précieuses deviennent alors des amulettes censées éloigner la maladie et le mauvais sort. Fertilité, rencontre amoureuse, pouvoir : ils manifestent la chance et peuvent envoûter.
Mais c’est véritablement pendant la Renaissance qu’on peut parler d’âge d’or. Les pierres précieuses et les matériaux de joaillerie sont alors réellement étudiés avec attention, et donnent lieu à des pièces d’orfèvrerie sans précédent. Les joailliers deviennent de véritables artisans, reconnus et réputés dans toutes les sphères de la société.
Aujourd’hui, on retrouve toujours dans nos bijoux une symbolique complexe. La broche en or de notre grand-mère est un héritage que l’on se transmet de mère en fille, la bague offerte par notre compagnon incarne les liens qui vous unissent, la paire de boucle d’oreilles achetée la semaine dernière reflète votre individualité…
Et si votre lien avec le bijou se noue dès lors que vous le glissez à votre doigt, votre cou ou votre poignet, son histoire à lui ne commence pas là. Partons ensemble sur les traces de la genèse d’un collier, d’une bague, ou encore d’un bracelet.
Les différents types de gisements
Au commencement, on trouve une mine. Diamant, rubis, saphir : ces pierres précieuses si convoitées qui orneront le bijou dans un futur proche se cachent pour le moment dans les entrailles de la Terre. Leur cristallisation s’est déroulée pendant des millénaires avant que l’Homme ne creuse et découvre l’existence de ces gemmes. Les diamants sont des minéraux de carbone. Ils sont extraits de la kimberlite, une roche ultramafique qui se trouve dans les zones les plus anciennes de la croûte continentale. C’est pourquoi on les trouve surtout sur le continent africain, qui représente aujourd’hui la majeure partie de la production mondiale.
Il existe différents gisements pour exploiter les diamants :
• Les gisements primaires : les mines à ciel ouvert et les mines souterraines.
• Les gisements secondaires alluvionnaires (cours d’eau) : en majorité artisanale, l’extraction peut aussi plus rarement être industrielle.
• Les gisements littoraux marins (littoraux et fonds marins) : grâce à des engins de terrassement et/ou des explosifs, l’objectif est d’atteindre le gravier diamantifère.
Afin de réguler l'industrie et ses pratiques, des procédures contrôlées ont été élaborées afin de donner une ligne directrice aux acteurs du secteur. Depuis 2003, 81 Etats suivent le « Processus de Kimberley », un protocole de contrôle garantissant que l’origine des diamants ne sert pas dans des conflits armés. Afin de proposer à sa clientèle une joaillerie éthique, Leïla Buecher s'assure donc que les diamants qui ornent ses bijoux sont certifiés par ce label.
Ce système repose sur la collaboration de pays qui s'engagent à suivre des normes strictes pour le commerce des diamants. Les diamants doivent être collectés, certifiés et scellés dans des conteneurs certifiés avant leur exportation, assurant ainsi une traçabilité et une transparence totales. Le but principal de ce processus est de prévenir le financement des conflits armés par le commerce des diamants, contribuant ainsi à un marché plus éthique et responsable des diamants à l'échelle mondiale.
De nombreux joailliers et bijoutiers se tournent par ailleurs vers des pierres précieuses recyclées, afin de limiter leur impact sur l’environnement.
Une fois extraits, les pierres précieuses bruts sont classés par taille, couleur, forme et autres caractéristiques physiques et chimiques. On estime que seulement 20% de la production sera destinée à la joaillerie, tandis que les 80% restants seront destinées à l'industrie.
Cette minorité de pierres seront ensuite taillées et polies.
Après avoir été polie, la pierre précieuse est enfin prête à être commercialisée. À noter que le commerce de certaines pierres précieuses est plus encadré que d’autres par la loi : c’est notamment le cas du diamant brut. C'est d'ailleurs l'une des raisons pour lesquelles chez Leïla Buecher, le travail du diamant nous tient particulièrement à coeur.
Pour mieux cerner comment se déroule la vente des ces gemmes, il faut comprendre plus largement l’organisation du commerce international du diamant brut. 3 grandes sociétés concentrent plus de 85% de la production mondiale de diamants.
Chaque compagnie vend ses lots de diamants via ses propres canaux de vente : par contrat avec des diamantaires ou via de ventes aux enchères. Par exemple, la société De Beers vend à des grossistes et des fabricants finement sélectionnés, tandis que les compagnies Alrosa et Rio Tinto signent des contrats et vendent chaque mois des lots de diamants.
Hormis ces géants du diamant, on retrouve des petits exploitants, mais il s’agit souvent d’exploitations semi-industrielles, voir artisanales, qui ne pèsent pas lourd par rapport aux mastodontes.
Restent les bourses, qui sont spécialisées dans le négoce du diamant brut et du diamant taillé, qui se situent à Anvers (Belgique), Londres (Royaume Uni), Tel Aviv (Israël), Bombay (Inde) ou encore New York (USA). Ces bourses sont réservées exclusivement aux professionnels.
Qui dit commerce dit respect des règles qui l’entoure ! Comme expliqué plus haut, le commerce du diamant brut est régi par le certificat du processus de Kimberley. Les règles sont les suivantes :
• Les diamants sont collectés à l’échelle d’un pays.
• Ils sont ensuite certifiés et mis sous scellés dans des conteneurs certifiés.
• Le gouvernement certifie le conteneur scellé avec un numéro de série.
• Aucun diamant ne peut transiter ou être exporté sans cette certification.
• Les diamants ne peuvent transiter qu’entre pays signataires du Kimberley Process.
• Les pays en guerre et non signataires du Kimberley Process n’ont pas le droit de faire transiter leurs pierres.
Lorsque les joailliers mettent enfin la main sur les pierres précieuses, après leur longue route, la création du bijou peut enfin commencer. Selon les métaux, les pierres précieuses utilisées et le savoir-faire des artisans, le processus peut varier.
Cette première étape consiste à concevoir le design du bijou. L’esquisse doit non seulement prendre en compte les idées créatives du bijoutier, mais aussi la réalisation technique de la pièce. Les artisans couchent leur dessin sur papier, avec de la peinture gouache par exemple, qui permet de sublimer les diamants et les détails des pierres. Le travail est ensuite présenté au client, dans le cas d'un bijou sur-mesure. Il pourra demander à retravailler la pièce ou bien accepter le croquis pour que la modélisation soit lancée. En effet, de plus en plus de créateurs utilisent ensuite la modélisation 3D afin de créer une maquette pour la réalisation du moule. Ces outils de conception assistée permettent de réaliser un modèle 3D très réaliste, qui respecte les contraintes de fabrication.
La phase suivante est celle de la fabrication de la maquette. La modélisation 3D a été réalisée, il faut désormais procéder à son impression. Pour cela, deux méthodes sont possibles :
• La cire manuelle : plus traditionnelle, elle permet de travailler plutôt des créations simples.
• La cire 3D : désormais largement utilisée par les créateurs de bijoux, elle apporte une réelle valeur ajoutée sur la qualité des détails et la technicité de la pièce.
La maquette est réalisée, il faut maintenant procéder à la fonte, c’est-à-dire transformer la cire en métal (or ou argent par exemple). Pour ce faire, le fondeur réalise un “arbre à cire” en regroupant plusieurs cires permettant de créer le moule en plâtre. Celui-ci est ensuite chauffé afin de faire fondre la cire pour la retirer du moule. Injectée par pression, l’or ou l’argent prend alors la place de la cire. Il faut ensuite refroidir l’ensemble en le plongeant dans de l’eau froide pour faire fondre le platre et libérer l’arbre à fontes. Chacune des fontes en est alors détachée. Le travail joaillier peut commencer ! Limes, cabrons, mouches, gommes seront les principales armes pour lisser le métal et le mettre en valeur pour ainsi le préparer à être paré de ses pierres.
C’est certainement l’opération la plus délicate, puisqu’elle consiste à fixer les pierres précieuses sur le bijou en métal. Le plus souvent, cette étape est effectuée par le sertisseur à l'aide d'une binoculaire, idéale pour un travail de précision. Le bijou peut être serti de plusieurs manières : serti clos, serti griffe, serti rail, serti grain en fonction du rendu choisi par le créateur mais aussi de façon à mettre l’accent sur la beauté des pierres.
C’est la dernière étape de fabrication du bijou, celle qui révèle la brillance de l’or et donne à la pièce finale tout son éclat. Pour atteindre ce résultat, le polisseur utilise des brosses et fils de différentes duretés, qu’il graissera avec des pâtes de différents grains. Selon le design et le rendu final souhaité, l’artisan peut également donner un aspect satiné ou sablé au bijou.
C’est l’aboutissement d’un travail de longue haleine, fruit des savoir-faire complémentaires des artisans ! La bague, le collier ou le bracelet peut enfin trôner fièrement en magasin ou bien être vendu à un heureux propriétaire.
Le bijou est prêt, il est grand temps de le vendre ! Sur internet, en magasin ou sur les marchés : il existe plusieurs canaux de vente, qu’il est possible de multiplier en tant que commerçant. Il revient à chaque vendeur de réaliser une étude de cible et de marché afin de déterminer lesquels sont les plus adaptés et permettront d’atteindre ses objectifs business.
• Vente sur les marchés : Les sites internet des mairies et des Offices de Tourisme proposent des places sur les marchés dans leur commune et aux alentours sur candidature. Le commerçant peut choisir entre un statut de marchand ambulant ou fixe, en louant un espace.
• Vente en magasin : C’est le canal traditionnel par excellence, mais aussi l’un des plus populaires. Et pour cause, la vente de bijoux en boutique ou en atelier présente l’avantage de proximité et la possibilité de créer une réelle relation avec le client.
• Vente sur le web : Que ce soit sur un e-commerce ou une place de marché, proposer ses bijoux en ligne est un bon moyen de multiplier ses ventes.
Aujourd’hui, les créateurs de bijoux ont tendance à combiner la vente physique et en ligne afin d’instaurer une complémentarité et cibler des acheteurs différents.
Après l’achat, le nouveau propriétaire doit entretenir son bijou afin de conserver son éclat. Car, s’il se porte pendant des décennies et peut se transmette de génération en génération, cette pièce de joaillerie est aussi exposée à la saleté, la poussière, la transpiration et autres facteurs qui peuvent dégrader sa qualité.
Pour que le bijou puisse survive aux affres du temps, il faut adopter les bons réflexes d’entretien. Il est par exemple recommandé de retirer sa bague avant de se laver les mains ou bien de prendre sa douche, afin d’éviter de la graisser.
Lorsque le bijou est porté régulièrement, il peut être constaté un manque d’éclat au niveau des diamants. Il s’agit simplement de dépôts venus se nicher entre la monture et les pierres (liés à l’utilisation quotidienne des crèmes, gels, savons etc.).
Pour retrouver une brillance optimale, il est recommandé de plonger son bijou dans un petit bol d’eau tiède savonneuse (le liquide vaisselle est idéal) durant une quinzaine de minutes. Cela va permettre aux impuretés de venir se décoller de la monture.
Puis, il faut frotter délicatement le bijou à l’aide d’une brosse à dents souple au-dessus, entre et en dessous des pierres afin d’ôter les impuretés.
Outre cet entretien régulier, apporter ses bijoux chez un joailler au moins une fois par an est conseillé pour réaliser un nettoyage professionnel. Et tous les 5 ans pour une révision complète
La bague en diamant de grand-mère léguée de génération en génération depuis plus de 50 ans est empreinte de souvenirs familiaux et d’émotions. Mais voilà : elle n’est plus au goût du jour et traîne au fond du coffre à bijoux… Heureusement, ces pièces délaissées ne sont jamais perdues et peuvent être transformées pour leur donner une seconde vie. Cette forme d’upcycling est de pus en plus populaire et permet d’apporter aux bijoux une nouvelle destinée.
Les experts en gemmologie qui reçoivent d’anciens bijoux dans leur atelier peuvent ainsi procéder à de multiples transformations :
• Renforcement de l’anneau
• Ajout de coussinet
• Vérification des sertis
• Gravure de motifs
• Nettoyage
• Polissage
• Rhodiage
Les modifications apportées à la bague, le collier, le bracelet ou toute autre pièce dépend du projet du propriétaire :
• Refaire à l’identique : il s’agit de lui donner un coup de neuf, ce qui passe obligatoirement par le nettoyage et le polissage du bijou. Les pierres précieuses et l’or retrouvent tout leur éclat et leur brillance !
• Changer la taille : Les joailliers sont habitués aux demandes de remise à taille de bijoux, en particulier les bagues. Le processus consiste à étirer (pour agrandir) ou réduire (pour rapetisser) le métal sans endommager les pierres précieuses.
• Graver le bijou : Pour personnaliser un collier, un bracelet ou une bague, rien de tel que d’y faire inscrire des initiales ou bien une phrase choisie par le propriétaire. Cette demande est fréquente pour les bagues de fiançailles et les alliances notamment.
• Créer une toute nouvelle pièce : Place à la créativité avec une transformation complète ! Ensemble, le joaillier et le propriétaire définissent d’abord le nouveau design du futur bijou. L’artisan peut refaire totalement le bijou ou bien lui donner une nouvelle forme. Par exemple, il est possible de conserve le diamant d’une bague pour en faire un collier. • •
Depuis son extraction de la mine, le diamant a fait une longue route. Pierre maîtresse d’une bague de fiançailles, il a été transmis aux enfants puis aux petits-enfants. Puis transformé en collier par sa dernière propriétaire, qui souhaite désormais le revendre. Plusieurs options s’offrent à elle :
• Bijouterie : Certaines bijouteries proposent le rachat de bijou, une solution simple et directe pour de revendre son bien rapidement.
• Comptoir spécialisé dans le rachat d’or et de diamants : Ils seront expertisés et achetés par des spécialistes (diamantaires).
• Vente aux enchères : Cette option est intéressante pour mettre en concurrence les acheteurs et en retirer le meilleur prix.
• Sites de vente en ligne : Des plateformes sécurisées de seconde main permettent de vendre facilement ses bijoux sur le web.
Attention : avant de se lancer dans la vente de bijoux anciens, il est important de bien se renseigner sur les impôts auxquels le propriétaire est soumis. En effet, il existe une taxe forfaitaire sur les objets précieux (TFOP), qu’il faudra payer en cas de revente d’un bijou dont la valeur dépasse 5 000€.
Il faudra également fournir un certain nombre de documents à l’acheteur :
• Certificat d'authenticité : Pour prouver l'origine du bijou et atteste de son authenticité. Cela peut rassurer l'acheteur sur la provenance du bijou.
• Certificat du diamant : Délivré par un laboratoire gemmologique indépendant, il détaille les caractéristiques du diamant (taille, couleur, pureté, poids en carats). Les certificats des laboratoires réputés comme le GIA (Gemological Institute of America) ou l'IGI (International Gemological Institute) sont généralement bien acceptés sur le marché.
• Évaluation professionnelle : Il peut être judicieux de faire évaluer le bijou par un expert en bijouterie. Cette évaluation peut ne pas nécessiter un certificat officiel, mais elle peut donner à l'acheteur une idée plus précise de la valeur du bijou.
• Facture d'achat d'origine : Lorsque cela est possible.
Racheté par un nouveau propriétaire, la vie du bijou suit son cours et le cycle recommence. Toutefois, ce dernier peut prendre fin lorsque l’on décide de recycler l’or en lui donnant une toute autre forme. Pour cela, il faudra suivre plusieurs étapes :
1. Récolte. On prélève les bijoux composés d’or.
2. Tri. L’or est envoyé en fonderie, où il est trié par niveaux de pureté selon son titrage ou selon le nombre de carats.
3. Fonte. Il est fondu à une température d’environ 1100°C afin de le récupérer sous sa forme brute.
4. Affinage. L’or est ensuite séparé des métaux auxquels il était mélangé (alliages) et débarrassé de ses impuretés. On obtient ainsi un or pur à 99,9%.
5. Reconditionnement. L’or pur est reconditionné sous la forme de lingots d’or ou de pièces d’or afin d’être réintroduit sur les marchés.
Aujourd’hui, l’or recyclé a la côte et de plus en plus de bijouteries l’utilisent pour tendre vers des pratiques plus éthiques et respectueuses de l’environnement. Afin de mieux comprendre ce phénomène, voici quelques chiffres :
90% de l'or recyclé provient des bijoux ;
La proportion d'or industriel recyclé a doublé en 10 ans ;
Pour 20 grammes d’or extrait, 50000 litres d’eau sont utilisés. Les conséquences de l’extraction sur la planète expliquent donc l’utilisation croissante de l’or recyclé.
Les joailliers le disent : l’or recyclé représente l’avenir des bijoux éco responsables et s’impose comme une solution viable face aux problématiques environnementales et sociales liées à l’extraction de l’or.
Chez Leïla Buecher, la traçabilité est un enjeu qui nous tient à coeur. Parce que nous souhaitons créer des bijoux à base de matériaux éthiques, nous surveillons de près la provenance de notre or et de nos pierres précieuses. Non seulement notre or est recyclé (label RJC-COC) et nos diamants certifiés par le processus de Kimberley, mais nous rencontrons également tous nos partenaires.
Notre objectif : minimiser notre impact sur l’environnement et les droits humains tout en proposant des pièces uniques et durables. Nous pensons que tous les bijoux sont éternels, et qu’ils transportent souvenirs, émotions et histoires dans le temps. C’est pourquoi l’upcycling et le recyclage résonnent profondément avec nos valeurs : la transmission et le partage.
Votre bijou est accompagné d’un certificat d’authenticité
Une assistance disponible 5J/7 de 9h à 18h pour répondre à tous vos besoins et questions
Une garantie de 2 ans à compter de la date d’achat